11 Février 2022
La solidarité et la générosité envers plus pauvres ou favorisés que nous n’est pas
un à côté de notre condition chrétienne.
Ce n’est pas facultatif.
Notre Église nous appelle à la « diaconie », c’est-à-dire l’application de l’Evangile
au service de tout être humain, surtout du plus démuni.
Nous avons tous à y participer par un engagement concret.
Pendant la messe dominicale, un geste pourrait apparaître accessoire : la collecte pour les besoins de l’Eglise ou de ses œuvres de solidarité.
Certains trouvent inconvenant et regrettable ce bruit d’argent autour de l’autel.
Pour d’autres, il pourrait ne s’agir que d’un geste symbolique, plutôt que d’une occasion d’une réelle charité.
L’Évangile de Luc, aujourd’hui est propice à nous rappeler le sens de la quête et
des collectes proposées.
Et peut-être à réveiller, au besoin, une générosité qui n’est pas facultative pour un chrétien.
Jésus promet le bonheur (béatitude) dès maintenant, aux pauvres, aux exclus,
aux persécutés.
Ils sont les privilégiés du Seigneur : « Le Royaume des cieux est à eux ».
Voilà de quoi nous interpeller, nous qui voulons être disciples de Jésus.
Père Dominique SENTUCQ
Edito dimanche dimanche 13 février 2022
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